DOMINIQUEDominique Blanc-Francard

Avant l’ère bénie du CD, on transférait nos délicieuses bandes master 1/4 ou 1/2 pouce sur des vinyles. Je rappelle au passage, et fort ému, car cela nous ramène au moyen-âge, qu’avant de porter sa bande au “mastering”, l’ingénieur du son d’époque passait quelques nuits blanches à nettoyer ses mix, à faire, avec le réalisateur, l’ordre des morceaux, que l’on assemblait méticuleusement sur une grande bobine avec des amorces blanches de 3 à 4 secondes entre chaque titre. LIRE LA SUITE